Notre histoire

Le berceau du Champagne Apollonis se trouve dans la famille de Michel Loriot depuis le 17ème siècle, ses ancêtres travaillaient la vigne dès 1675. 12 générations de vigneronnes et de vignerons vont se succéder dont Palmyre et Léopold qui installeront le premier pressoir du village en 1903.

1887

Léopold Loriot - Palmyre Angelina Maximy
1887

Léopold Loriot
& Palmyre Angelina Maximy

1930

Germain - Palmyre Henrielle Loriot
1930

Germain &
Henrielle Loriot

1950

Henri - Jeanne Loriot
1950

Henri &
Jeanne Loriot

1977

Martine - Michel Loriot
1977

Martine&
Michel Loriot

1990

Marie - alban Loriot
1990

Marie&
Alban Loriot

Au fil de plusieurs partitions...

L’Histoire du Champagne Michel LORIOT se joue au fil de plusieurs partitions. A travers les époques et au gré de l’impulsion de ses acteurs, une grande marque fait son entrée. Ingéniosité, volonté et qualité se mêlent sur une portée digne des plus belles œuvres de la Champagne. Musique :

Champagne Apollonis

Les premières notes de la famille LORIOT dans le Champagne seront données dès la fin du XIXème siècle par Léopold (né en 1867) avec l’aide de son épouse Palmyre Angelina Maximy. Figure forte de l’Histoire du Champagne LORIOT, elle-même suit les traces de son aïeul Mathurin Leboucq, vigneron à Nesle-le-Repons dès 1675. Un prélude au cœur de la Vallée de la Marne, où Léopold, saxophoniste de la fanfare de Festigny, sera le premier vigneron à installer un pressoir au village en 1903. Ce pressoir traditionnel constitue une pièce maîtresse symbolique dans l’histoire du Champagne Michel LORIOT, il y rythmera bien des vendanges et sera conservé jusqu’à nos jours dans les celliers de la Maison.

Le Champagne, crescendo…

Dans les années vingt, le vignoble champenois fait face à une épidémie dévastatrice de phylloxera. Prenant conseil en Bourgogne, Léopold applique à sa vigne un procédé palliatif, nouveau en Champagne, le greffage. A cette époque, la vente de raisin est mal payée et pousse Germain en 1931, à élaborer et à commercialiser, avec son épouse Henriette, les trois-cent premières bouteilles de champagne de la Maison ! A l’arrivée de leur fils Henri, la cadence des ventes s’accélère. En 1952, Henri agrandit le Domaine avec l’appui de son épouse Jeanne et le couple donnera naissance à Michel, en 1959.

Michel LORIOT, mélomane-vigneron...

Michel LORIOT hérite du patrimoine familial : de la viticulture, mais aussi de l’affinité pour la musique… Il installe son exploitation en 1977 avec un petit lot de vignes, aidé de Martine Pierson, sa compagne. Empreint de son attrait pour la musique, il l’accorde avec sa vocation pour le champagne.
Ainsi, plusieurs parcelles du Champagne Michel LORIOT bénéficient d’une pratique inédite en Champagne, qui porte ses fruits : la musique pour végétaux appelée « protéodie ». Un dispositif que Michel LORIOT offre à sa vigne pour une meilleure résistance aux maladies et lui permet de s’épanouir.
Les symphonies œuvrent aux vignes… et en cave ! En effet, Michel LORIOT signe son vin d’une sélection de grands classiques. Les plus grands compositeurs bercent les vins mis en bouteille. Ils effectuent leur prise de mousse en Symphonie Pastorale de Beethoven, deux mois durant. Puis, Mozart, Brahms, Vivaldi, Elgar s’invitent dans les souterrains du Champagne Michel LORIOT et participent à la magie de l’effervescence de haute qualité. Les notes qui se détachent de ces mélodies apportent des vibrations atteignant le vin, les levures et les protéines qui le composent. Elles agissent sur sa structure et l’aident à exprimer tous ses parfums et ses arômes durant son vieillissement. L’harmonie des éléments se crée… et Michel LORIOT peut lui aussi vivre l’émotion procurée par la musique, traduite en ses champagnes.

Vignerons à l’unisson…

Sur l’exploitation familiale, la passion de la musique et de la viticulture est partagée par Martine et Michel LORIOT, ainsi que par leur fille Marie, œnologue, et Alban, son mari, responsable de la production. La dixième génération de vignerons de la famille anime l’exploitation. Une aventure qui dure depuis 1675…